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Les gentils vampires n'existent pas

~ Le blog de l'écrivaine Morgane Caussarieu

Les gentils vampires n'existent pas

Archives Mensuelles: juillet 2014

Presse Le masque de la mort lente, dans Nouvelles Peaux

24 jeudi Juil 2014

Posted by morganecaussarieu in Uncategorized

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LIVROSCOPE

« Mais ma chérie absolue parmi les histoires de Nouvelles Peaux, c’est « le Masque de la Mort Lente », de Morgane Caussarieu: dieu que c’est fort, dieu que c’est intense! J’ai été franchement marquée par cette nouvelle, qui me hante encore bien après l’avoir lu. Je n’ai qu’une envie: lire ce qu’elle a écrit d’autre, parce que la vache, c’est bon! » http://livroscope.blogspot.fr/2014/06/nouvelles-peaux-collectif-aux-editions.html

LA TAVERNE DU NAIN BAVARD

« A la lecture de la biographie de l’auteure, on comprend son style. En effet, l’ambiance de sa nouvelle est digne d’une scène que l’on pourrait trouvé dans un livre d’Anne Rice.Elle ose s’attaquer au problème que le sida a pu poser à la communauté homosexuelle dans les années 80. Mais le détournement est intéressant en créant une pseudo utopie orgiaque en incluant le système cyclique de la fin d’une période. En l’occurrence ici, l’introduction d’une personne malade dans le groupe. On remarque aussi le compte à rebours pour la fin du monde gay que les gens prennent pour une fantaisie de leur hôte, mais qui au final a son importance. Il correspond à l’arrivée de la mort dans ce huis clos prenant tout le monde de court.Une nouvelle qui pourrait paraître crue, mais qui replacer dans les influences de l’auteure prend tout son sens. Oui, allez chercher les références chez les vampires, mais les vrais ceux qui ne brillent pas. »http://la-taverne-du-nain-bavard.net/nouvelles-peaux-aux-editions-luciferines?fb_action_ids=703311013050324&fb_action_types=og.likes

AU DELA DES PAGES

« Le Masque de la mort lente reprend la tournure des événements de la nouvelle Le Masque de la Mort Rouge, montrant donc son inspiration jusque dans le titre. L’histoire de Poe nous conte les extravagances du prince Prospero, s’étant construit une abbaye fortifiée pour le protéger d’une maladie fulgurante appelée La Mort Rouge. À l’abri en compagnie de mille courtisans, le prince organise nombreux bals et orgies, jusqu’au jour où La Mort Rouge s’infiltre dans ce lieu, provoquant ainsi la perte des réfugiés.
Morgane Caussarieu transpose cette nouvelle au sein de la communauté homosexuelle. Ainsi, le prince Prospero devient la Princesse et la Mort Rouge devient la Mort lente. Tout comme le matériau d’origine, cette version propose un lieu possédant plusieurs pièces de couleurs différentes, à la différence près que chaque pièce n’est en réalité qu’un lieu d’orgie constitué de jouets et installations sexuelles. Et là, nous commençons à toucher le point noir de cette nouvelle : tout n’y est que cliché. Le maître des lieux est surnommé Princesse, les homosexuels ne vivent que pour coucher avec tous les partenaires existants dans le château fortifié quitte à user de comprimés pour conserver une érection, et bien entendu, la Mort lente représente le sida. Par ailleurs, si la nouvelle de Poe représentait la menace dans un linceul, cette version nous propose un costume sadomasochiste laissant uniquement des ouvertures pour la bouche et les orifices intimes.
Il est certain que l’auteur désirait choquer le lecteur et rendre sa lecture dérangeante, malheureusement la communauté décrite transpire tellement les clichés les plus classiques qu’elle fait lever les yeux au ciel, tandis que la Mort lente et ses mouvements reptiliens renforce tellement le stéréotype qu’elle donne un aspect ridicule au récit. Pour couronner le tout, le style d’écriture n’arrange en rien le stéréotype. Constitué essentiellement de vulgarité, le lecteur assiste davantage à un récit pornographique loin de l’angoisse sous-entendue en abordant le recueil ». http://audeladespages.wordpress.com/2014/07/19/nouvelles-peaux-autres-histoires-extraordinaires-anthologie/

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ITW à propos de Je suis ton ombre !

23 mercredi Juil 2014

Posted by morganecaussarieu in Uncategorized

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à voir sur le site de psychovision : http://www.psychovision.net/livres/interviews/1380-interview-de-morgane-caussarieu

Morgane Caussarieu, l’auteur de « Dans les veines » et « Vampires et bayous« , vient de publier son deuxième roman, « Je suis ton ombre« , à propos de laquelle Psychovision l’a dont interviewé.

Bonjour ! Tout d’abord, merci d’accepter de répondre aux quelques questions de Psychovision. Je commence par une question classique, est-ce que vous pourriez vous présenter à nos lecteurs ?

 

Salut, je suis une punkette de 26 ans et l’auteur de deux romans Dans les veines et Je suis ton ombre, parus chez Mnémos, ainsi que d’un essai, Vampires & Bayous.

 

 

Qu’est ce qui vous a amené plus particulièrement à écrire sur les vampires et à les mettre en scène dans vos romans ?

 

Depuis que j’ai lu Entretien avec un vampire à huit ans, le mythe ne m’a plus jamais quitté et a hanté mes nuits adolescentes. Les vampires sont des créatures duales et fascinantes, une source d’inspiration continue pour moi malgré la surexploitation dont ils font l’objet ces derniers temps. C’est un honneur que d’essayer d’apporter ma petit pierre au gigantesque édifice culturel qu’ils constituent…

 

 

Si « Dans les veines » était plutôt sous l’influence de Poppy Z. Brite, il faut plutôt chercher du côté d’Anne Rice et de Somtow pour « Je suis ton ombre » ou encore ailleurs ?

 

Anne Rice et Somtow étaient déjà une source d’inspiration pour Dans les veines, beaucoup plus que pour celui-là, même si ce n’est pas forcément évident. Dans les veines était mon hommage au genre, très codifié. Avec Je suis ton ombre, j’ai essayé de sortir des sentiers battus, de ne me référer à personne, de produire un texte plus audacieux et personnel. Avec le bayou et l’enfant vampire, l’ombre de Maman Rice plane certainement, mais sur qui ne plane-t-elle pas de nos jours ? Elle a redéfini les codes, il y a un avant et un après Lestat.

Cela peut paraître idiot, mais la structure de Je suis ton ombre m’a été inspirée par « l’Histoire Sans Fin », roman qui m’a captivée quand j’étais gosse. C’est un peu la version glauquy, avec ce gamin qui vit les aventures racontées dans un livre. Pour mes autres références, il faut chercher du côté de la littérature et des films américains sur le Vieux Sud, type « La Nuit du chasseur ». On m’a fait remarqué aussi qu’il y avait un petit côté Stand by me, et même si ce n’était pas forcément conscient, j’avoue que c’est le film et la novella de King dont il est tiré m’ont marqué.

 

 

« Je suis ton ombre » est à la fois une suite et un préquelle, pourquoi ce choix ?

 

C’est surtout un spin off. L’idée principal était de garder un lien avec Dans les veines mais d’écrire un roman qui peut se lire indépendamment. C’est un préquelle car il raconte l’origine de l’inquiétant enfant vampire Gabriel, et une suite parce que les événements se passent un an après ceux de Dans les veines. Mais à part ça, rien à voir entre les deux bouquins. Je voulais surprendre et me renouveler, pas me contenter d’un tome 2.

 

 

Qu’est ce qui vous a amené à vouloir raconter ces deux histoires en même temps plutôt qu’une seule à la fois ?

 

Je suis ton ombre est construit de deux récits à la première personne, celui de Poil de Carotte, un gamin perturbé, de nos jours dans la campagne française, et celui de Gabriel, il y a 300 ans, dans les bayous. L’histoire de Gabriel m’est venue en premier. Mais toute seule, elle est beaucoup moins forte que mise en résonance avec celle de Poil de Carotte. J’aime aussi m’amuser avec les différents styles de langue et la façon de raconter très oral de Poil de Carotte a été un bonheur à écrire. Je voulais aussi parler d’une époque que je ne connais pas mais que j’ai étudié, autant que de mes contemporains et de ma région natale.

 

 

Pourquoi avoir décidé de placer tes romans dans le sud-ouest de la France ? Et pourquoi en dresser un portrait aussi peu flatteur ?

 

Je suis née dans les Landes. Et dans les petits bleds, je vous jure, on se fait vraiment chier gamin, et il se passe pas toujours des trucs très cools. Les évènements décrits peuvent paraître un peu extrêmes, mais je ne me suis inspirée que de témoignages/faits divers recueillis ça et là. Il n’y a pas grand chose d’inventé, que du condensé. Le Temple stygmatise la misère rurale. Alors oui, c’est une vision très noire, et heureusement, pas grand monde n’a eu à vivre les mêmes expériences que mes personnages, mais je pense que ça parlera à certains. J’ai voulu montrer le côté « white trash » de la France, qui a tendance à me fasciner.

 

 

Une autre chose qui est malmenée dans tes deux romans, c’est la famille : entre celle de Lily dans « Dans les veines » et celles présentées dans « Je suis ton ombre », on peut dire que vous n’épargnez pas cette institution, non ?

 

Oui, haha, j’ai un vrai problème avec la famille. Je me la représente comme une prison pour l’individu, et cela ressort très souvent dans mes écrits. Par ailleurs, je suis une grande amatrice de mélodrame, et je pense que toute bonne œuvre a forcément un peu de mélo dedans. Et qui dit mélo, dit déchirements familiaux… CQFD

 

 

Dans « Vampire et bayou », tu présentais le vampirisme de Louisiane comme une revanche du sud suite à la guerre de Sécession, est-ce que dans « Je suis ton ombre », vous ne prennez pas cette thèse à revers, faisant du vampirisme la revanche de l’esclavage ?

 

Exactement. Je voulais faire l’antithèse d’Entretien avec un vampire, avec ses buveurs de sang planteurs, maîtres d’esclaves. Mes nosferatus viennent d’Afrique, et bouffe du Blanc au petit dej’.

 

 

D’ailleurs, les vampires de « Je suis ton ombre » ne symbolisent-ils pas aussi la vengeance de l’enfance brisés sur leur bourreaux ?

 

Oui, c’est du pur « rape and revenge ». Encore un motif de genre qui me tient très à cœur et qu’on retrouve un peu aussi à la fin de Dans les veines. Ici, l’enfant molesté rendu vil par l’adulte déviant obtient le pouvoir de se venger, et c’est quand même une belle revanche, ça fait plaisir, même si ça reste hardcore à lire.

 

 

Au niveau de la violence, Entre « Dans les veines » et « Je suis ton ombre », elle est abordée de manière différente, très graphique pour le premier et plus réaliste dans le second, ce changement de style est dû aux histoires qui sont bien différentes ?

 

La violence est plus suggérée mais peut-être plus horrible encore dans Je suis ton ombre. Je pense que c’est dû au fait que j’ai un peu mûri entre les deux romans, et que je sombre moins facilement dans le gore jouissif. Mais il est vrai aussi que le sujet s’y prêtait moins..

 

 

Avec « Je suis ton Ombre », tu sembles placer l’origine du vampirisme en Afrique, pourquoi ce choix ?

 

Les premiers hommes sont censés venir d’Afrique, alors pourquoi pas les premiers vampires ? Le continent africain recelait beaucoup de mystères et de magie à l’époque pour les colons, et cela continue aujourd’hui. Je poursuis d’ailleurs avec cette idée de vampire africain dans mon prochain texte, un roman court publié aux éditions du Chat noir dans une antho sur les magies venues d’Afrique, Black Mambo. Cela parlera de vaudou, de culte Muti et de djinns. Je partage le sommaire avec Vanessa Terral et Sophie Dabat. On y retrouvera le personnage de Marie-Joséphine, la petite esclave de Je suis ton ombre, dans une histoire mettant en scène le Baron Samedi, toujours à la Nouvelle-Orléans, mais cette fois de nos jours.

 

 

Quels sont vos projets ?

 

Eh bien il y a donc Black Mambo qui sort pour le salon du livre en mars 2015, et actuellement, je suis en train de finir un roman de littérature blanche, qui racontera la romance tordue entre une gothique frigide et un punk bipolaire, sur fond de drogue et de musique, tout en faisant le tour des scènes underground parisienne et berlinoise actuelle.

 

 

Je vous remercie d’avoir bien voulu répondre aux questions de Psychovision. Et je vous laisse donc le mot de la fin :

 

Les gentils vampires n’existent pas !

 

 

 

A propos de cette intervew :

 

– Chronique de « Je suis ton ombre« 

– Site de l’auteur :  https://morganecaussarieu.wordpress.com/

Une excellente critique de Je suis ton ombre

02 mercredi Juil 2014

Posted by morganecaussarieu in Uncategorized

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http://www.quoideneufsurmapile.com/2014/07/the-evil-that-men-do-lives-on-and-on.html

Le Temple, un petit bled des Landes. Aujourd’hui.
Le Temple. Quelques cultures vivrières, des usines en restructuration, un troquet. Et pas grand chose à foutre. Glander ou faire des conneries. C’est la ruralité profonde, ce qu’il en reste après l’exode rural, dans toute son horreur. Grise, morne, désespérément glauque.

Y vit Poil de Carotte, un garçon bête, méchant, et très malheureux, qui traine sa misère et son ennui entre une école où il ne fait rien pour combler le retard qu’il a déjà, et une maison aux finitions interrompues dans laquelle il vit seul avec un père handicapé et aigri.
Y vit aussi Timmy, le bully de l’école, une brute ahurie et satisfaite comme sait en produire la ruralité sans même l’excuse du foot américain. Faut dire que son père n’aide pas.
Ces deux-là des Américains les nommeraient white trash.

Il y a aussi David, gentil, compatissant, issu d’une famille plus normale, mais obèse et juif. Est-il besoin d’en dire plus ?
Et quelques autres. Meli, si jolie que tous les garçons l’aiment, Hugo le Putois, sbire indéfectible de Timmy, des adultes qui ne voient rien de ce qui nage dans l’eau glauque, juste sous la surface du vert paradis des amours enfantines.

Seule « curiosité » locale dans cette morne plaine : la ferme des Macaire, qui a brulé après la mort des propriétaires et le retour de leur étrange fils. Ruinée, effrayante, elle est vide désormais. Vide, vraiment ? Poil de Carotte, au gré de ses pérégrinations  désœuvrées y trouve un carnet. L’histoire autobiographique de deux jumeaux ayant vécu à la Nouvelle Orléans au XVIIIème siècle. Il en entreprend le lecture et sa vie bascule, car leurs souffrances se répondent par delà les siècles et la tombe.

« Je suis ton ombre » est plus un spin-off qu’une suite de Dans les veines, le percutant premier roman de Morgane Caussarieu. Et il faut dire sans la moindre hésitation qu’elle fait plus que confirmer le talent qu’on lui supposait. « Je suis ton ombre » est captivant, hypnotisant, soutenant de bout en bout par la perfection formelle l’intérêt narratif d’un récit angoissant par ce qu’il laisse entrevoir, au fil de la progression entremêlée des évènements présents et de la lecture du journal, des horreurs du passé et de celle à venir qui sera le fruit de leur résonance.

Caussarieu raconte comme personne une enfance malheureuse, martyrisée, abusée. Elle montre que le mal est éternel, même si son véhicule change, et même si ses manifestations s’adaptent à l’esprit du temps. Elle décrit le mal des hommes que le mal des institutions rend possible ; ou le malheur, ou la bêtise, ou le manque d’amour. Différentes causes, même effet.
Elle peint une solitude si atroce que toute compagnie lui est préférable. Elle donne à voir la violence, la honte, la colère, le désir d’appartenance et les moyens pas toujours ragoutants qu’il faut mettre en œuvre pour le satisfaire. Elle confronte cynisme et culpabilité, innocence et corruption. Inutile de dire ce qui en sortira vainqueur.

Bayou et vampire, difficile de ne pas penser (un peu) à Anne Rice. De même avec le personnage du vampire enfant, tant Claudia sera pour l’éternité la petite fille non morte de la littérature, ou l’origine africaine du vampirisme. Caussarieu connaît ses classiques, jusqu’au cas Plogojowitz, on le savait déjà. Mais elle invente, réinterprète, ajoute au mythe, rejoignant ainsi d’illustres prédécesseurs. Et si sa voix, nouvelle, est si forte, c’est grâce à l’estomac qu’elle met à décrire et à la qualité impressionnante de son écriture.

Ecrit deux fois à la première personne, par Poil de Carotte se racontant, et par Gabriel témoignant, « Je suis ton ombre » est une réussite stylistique. L’écriture est parfaite dans les deux registres de langue. Le carnet de Gabriel est plein de la préciosité riche du Grand Siècle, la parole de Poil de Carotte est celle d’un enfant peu cultivé. Les deux sont réussis. Et c’est en ce qui concerne Poil de Carotte que c’est le plus impressionnant, tant il est difficile d’adopter au long cours un style parlé familier, et presque vulgaire, qui fasse juste. C’est le cas ici. Et pour la Nouvelle Orléans, l’écriture joue l’exquise musique d’un lexique étendu, précis, et un peu suranné. Poil de Carotte parle juste, Gabriel superbe. Dans les deux cas, c’est Caussarieu qui écrit. A merveille.

« Je suis ton ombre » est à lire absolument. Pas seulement pour les vampires. D’abord pour lui-même

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