Voici le lien de l’émission à laquelle j’ai participé récemment :
http://online.nolife-tv.com/emission/#!/40939/reves-et-cris-22
30 mercredi Oct 2013
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inVoici le lien de l’émission à laquelle j’ai participé récemment :
http://online.nolife-tv.com/emission/#!/40939/reves-et-cris-22
30 mercredi Oct 2013
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inPour avoir mouillé ma petite culotte durant mes années acnéiques pour ces personnages charismatiques que sont Lestat et Spike, le titre un brin putassier ROCK STAR VAMPIRE (quoiqu’il ait le mérite d’aller droit au but) ne pouvait qu’éveiller ma curiosité.
C’est donc avec un cœur battant d’adolescente que j’ai attaqué les aventures de Selma, une fille pas comme les autres qui bouffe de la viande rouge, craint le soleil, possède une force prodigieuse, et un talent certain pour le rock n roll qui lui vaut de se faire remarquer par un producteur après qu’elle a posté les vidéos de ses chansons sur youtube.
Le roman de Yves Bulteau possède des qualités indéniables : la façon dont les sensations de Selma sont décrites, sa relation au froid, son combat avec son moi vampire sont très intéressants. J’ai particulièrement apprécié le début du livre, quand on revient sur son enfance et que l’auteur nous raconte comment ses différences se sont déclarées. Autre point positif, à la manière d’un Aux Frontières de l’Aube, le mot vampire ne sera jamais prononcé…Bien qu’écrite par un français, l’histoire semble se situer dans un pays nordique pas précisé dans le texte, et cela apporte un certain mystère, qui contrebalance l’aspect très actuel dopé à facebook et au smart phone. L’aspect musicale est crédible, l’histoire d’amour avec le guitariste est sympa et sans prétention, rythmée, et évite les écueils de la niaiserie. Sans casser des briques, le style typé thriller d’Yves Bulteau est fluide, et Rock Star Vampire se lit d’une traite.
Malheureusement, le livre ne tient pas ses belles promesses. L’aspect Rock Star est très vite délaissé au profit de la quête des origines. Une quête des origines vampiriques que j’ai trouvée, pour ma part, très décevante et un peu tirée par les cheveux, même si elle a le mérite d’être originale. Le livre est très court, et nous laisse sur notre faim, appelant une suite. Je la lirai très certainement, car Selma reste attachante si on aime comme moi les ados torturées, et cette séquelle s’interessera surement aux dessous du show biz, puisque ce premier roman s’arrête à la création du groupe de Selma, à leurs répétitions et leur premier concert… Cela manque aussi un peu de sang, de sexe et de drogue à mon goût, si on s’en fit au titre…
Au final, un livre qui se détache de la production young adult habituelle, qui s’éloigne des codes du genre, et qui mérite d’être découvert rien que pour son début, sans pour autant révolutionner le récit de vampire. Je pense qu’il s’adresse à un lectorat assez jeune, c’est peut-être cela aussi qui m’a un peu retenue…
30 mercredi Oct 2013
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inIl y a toujours quelque chose qui vous pousse à créer, à écrire. Dans mon cas, c’est la découverte des oeuvres qui suivent. Chacune à sa façon a profondément bouleversé mon imaginaire et a contribué à la naissance de mon premier roman. Peut-être les avez-vous déjà lues, vues ou entendues pour certaines. Si ce n’est pas le cas et que vous avez apprécié l’univers de Dans les veines, alors je me permets de vous les recommander vivement…
Quelques romans :
Âmes perdues,de Poppy Z. Brite, 1992
Entretien avec un vampire, d’Anne Rice, 1976
Une fille comme les autres,Jack Ketchum, 2007
Mon âme est une porcherie, Gudule, 1998
Laisse-moi entrer, John Ajvide Lindqvist, 2004
Vampire junction, S.P Somtow, 1984
Bye bye blondie, Virginie Despentes, 2004
Closer, Dennis Cooper, 1989
Lolita, Nabokov, 1955
Un fauteuil pneumatique rose dans une forêt de conifères, Thibault Lang-Willar, 2010
Mysterious skin, Scott Heim, 1995
Billy, Whitley Strieber, 1990
Le Portrait de Dorian Gray, Oscar Wilde, 1890
Les 120 journées de sodome, Sade, 1785
Rituel de chair, Graham Masterson
Quelques films :
Les prédateurs, Tony Scott, 1982
Aux Frontières de l’Aube, Kathryn Bigelow, 1987
Morse, Thomas Alfredson, 2008
Daughters of darkness, Harry Kumel, 1971
Génération perdue, Joel Schumacher, 1987
Fright Night, Craig Gillepsie, 2011
The doom generation, Gregg Araki, 1994
Pink Flamingoes, John Waters, 1972
Blade Runner, Ridley Scott, 1982
Suspiria, Dario Argento, 1977
Ichi the Killer, Takashi Miike, 2001
Classe 1984, Mark Lester, 1982
La nuit du chasseur, Charles Laughton, 1955
La féline, Paul Schrader, 1982
Crash, David Cronenberg, 1996
Phantom of the paradise, Brian de Palma, 1974
The Devil Rejects, Rob Zombie, 2005
Massacre à la tronçonneuse, Tobe Hopper, 1974
Velvet Goldmine, Todd Haynes, 1998
Enter the Void, Gaspard Noé, 2009
Drive, Nicolas Winding Refn, 2011
The Woman, Lucky Mc Kee, 2011
Idées de chansons post-punk à écouter en lisant Dans les Veines :
Victory of love, Alphavile.
Bela Lugosi’s dead, Bauhaus.
Night Creatures, Screaming dead
Louise, Clan of Xymox
La fête triste, Trisomie 21
Sex Dwarf, Soft Cell
Papillon, Editors
Rage, Blue cat
Noir désir, Vive la fête
People are strange, Echo and the bunnymen
Eyes without a face, Billy Idol
Noxious, Corpus delicti
Autumn wounds, Soror Dolorosa
Touche pas mon sexe, Comix
Avenue du crime, Taxi Girl
Is everything real ? The frozen autumn
Das model, Kraftwerk
Kiss kiss bang bang, The Specimen
Le groupe Batcave Totemic Animals, à l’univers proche de celui de Dans les veines, a décidé de rendre hommage à mon bouquin dans le superbe morceau Bat dance, avec des paroles écrites du point de vue d’un de mes personnages principaux : Lily. Je vous laisse découvrir leur musique…
ÉCOUTER LA DÉMO : CLIQUEZ ICI
PAGE DU GROUPE : CLIQUEZ ICI
BAT DANCE, TOTEMIC ANIMALS
You’re flying in my arms (x2)
How could I not have seen?
How can I not feel?
Then you took off me the life?
A taste of blood on your lips…
My heart forgot to beat ;
You visit me…every night !
You’re flying in my arms (x2)
I remember my father’s arms ;
I remember my mother’s breath ;
Your putrid smell isn’t so bad.
your sweet voice whispers to my ear …
(x2)
Your skin is so/thin leaves appear !
Through your veins/scarlet life again.
How did I couldn’t
Understand then…
When you had me
Caught up in your arms,
Away from the corpses …
Your cave so cold …
Your wings around me …
Don’t believe your words
More than your thirst
Because now nothing human
Anymore flows in your veins! (x2)
I remember my father’s arms ;
I remember my mother’s breath ;
Your putrid smell isn’t so bad.
your sweet voice whispers to my ear …
(x2)
Your skin is so/thin leaves appear !
Through your veins/scarlet life again.
©Totemic Animals.
© Banshee Xuân.
30 mercredi Oct 2013
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inVous pouvez m’envoyer vos dessins à danslesveines@gmail.com, je me ferai un plaisir de les publier !plus qu’un fan art, une superbe illustration de l’univers de Dans les veines, réalisée par Jérôme Crosse, ami et graphiste de génie!
J.F et Seiko vus par Lily Scarlet, magnifique !
une Violaine très sexy, vue par Akane Varkos
Joker’s kiss, Lily Scarlet
Gabriel, vu par Lily Scarlet
Strip compte rendu des Imaginales par Agathe Castaldi – Art work par Nicholas Téry Minardi.tA
portrait par Emeline Sarrazin
Affiche créée par la libraire de Feu le Virgin-Marne la valléedessin que j’ai réalisé pour ma nouvelle, Un arrière-goût d’éternité, dans le recueil Sales bêtes ! aux éditions des Artistes Fous
30 mercredi Oct 2013
Posted critique, dossier, Uncategorized
inDossier :
Twillight la pudibonde au Nord et True Blood la dépravée au Sud
Dossier :
Une sangsualité vampirique transgenre en Louisiane
Critique film :
Aux Frontières de l’Aube de Kathryn Bigelow
Critique livre :
Riverdream, de George RR Martin, aux éditions Mnemos
Critique livre :
Le Vampyre de New york, de Charlie Huston, éditions Le Seuil
Critique livre :
Rock Star vampire, de Yves Bulteau, Pandore, Le Pré aux clercs
Critique livre :
Coldtown, de Holly Black, Black Moon, Hachette
Critique livre :
Angemort, Sire Cédric, Le Pré aux clerc
Critique livre :
Even Dead Things feel your Love, Mathieu Guibé, le chat noir
Critique film :
Balada triste de trompeta, de Alex de la Iglesia
Critique film :
La résidence, de Narcisso Ibanez Serrador
30 mercredi Oct 2013
Posted news
inMARS 2013 :
— LA SAVEUR DU SANG
dans le fanzine gothique La Salamandre
Résumé : Un vampire, qui tente de combattre sa soif de sang, rencontre un clochard à qui il propose un inquiétant marché.
COMMENT OBTENIR LE FANZINE : il coûte 7€ (5€ + 2€ de port). Les régler par chèque ou mandat à l’ordre de Marc-Louis Questin, 86 bis rue Riquet 75018 Paris. Ou abonnement à 4 numeros : 20€ port compris
AVRIL 2013 :
— UN ARRIERE-GOÛT D’ETERNITE
dans l’Anthologie : SALES BÊTES ! Drôles de bestioles et délires zoomorphiques
Editeur : Les artistes fous
Résumé : Deux copains partent la nuit sur le Loch Ness, en barque, pour pêcher une créature aux pouvoirs étonnants… Une nouvelle entre surprises et clichés sur les monstres marins…
Un recueil avec de tres belles illustrations en couleurs, et les nouvelles sont pour la plupart, de très grande qualité !!!
pour lire lire les critiques c’est ici
COMMENT OBTENIR LE RECUEIL : http://www.lesartistesfous.com/les-editions-des-artistes-fous/sales-betes/commander
ou au METALUNA STORE (ex Movies 2000), rue de Dante à Paris.
DECEMBRE 2013 :
dans l’Anthologie : Créatures (lire la description ici)
Editeur : La Madolière
Résumé : Marie, 14 ans, n’aurait pas du coucher avec Julien, il y a six mois, lors d’une boom. Elle est sur le point d’accoucher, et qui sait ce que sont les créatures qui gigotent en elle…
pour lire les critiques c’est ici
commander le recueil : http://www.editions-la-madoliere.com/244.ht
AVRIL 2014:
dans l’Anthologie : FOLIE(S)
Editeur : Les artistes fous
Résumé : Martin n’est pas un gamin comme les autres. Des migraines horribles lui rongent le crâne depuis tout petit… L’univers de Martin est régi par sa mère, une femme narcissique et instable, et sera bouleversé lorsqu’il découvre en lui un pouvoir terrifiant…
commander le recueil (15euros) : http://www.lesartistesfous.com/les-editions-des-artistes-fous/folie-s
dans l’Anthologie : NOUVELLES PEAUX (Autres histoires extraordinaires)
Editeur : Editions Luciférines
Résumé : Une relecture du Masque de la mort rouge d’E.Allan Poe, à la sauce eighties, partouze, sida.
commander le recueil (10euros) : http://editionsluciferines.com/catalogue/nouvelles-peaux/
dans l’anthologie : la vie après la mort
dirigée par : Richard D Nolane
Editeur : L’oeil du sphinx
— LE SYNDROME DE PAN
résumé : Un garçon étrange rend visite la nuit à l’arrière petite fille James M Barrie, l’auteur de Peter pan. Il lui demande d’être sa maman et l’entraine dans une cavalcade effrénée dans les nuit londonniennes. Mais les apparences peuvent être trompeuses, et les enfants perdus se réveler bien plus effrayants que les pirates !
— PREMIÈRE VICTIME
Résumé : Une histoire inédite, mettant en scène J.F. et Seiko (deux personnages de Dans les veines) en 1977 : J.F vient juste d’être transformé en vampire et sent venir la soif de sang pour la première fois…
30 mercredi Oct 2013
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in« MORGANE CAUSSARIEU REJOINT ASSUREMENT LES GRANDS DE LA VAMPIROLOGIE FRANCAISE » Vincent Tassy, Obsküre Mag n°15
« UNE CULTURE HISTORIQUE, SOCIOLOGIQUE ET LITTERAIRE IMPRESSIONNANTE (…) UN ESSAI QUI SE LIT COMME UN ROMAN » Jean-Luc Rivera, Actusf
« UNE BELLE DECOUVERTE » Mythologica
» UN ESSAI CHAUDEMENT RECOMMANDE » vampirisme.com
Le soir, du 4 août 2013 :
« MORGANE CAUSSARIEU REJOINT ASSUREMENT LES GRANDS DE LA VAMPIROLOGIE FRANCAISE »
« Avec ce premier essai hyper documenté (aussi bien en histoire des Etats-Unis et de l’esclavage qu’en culture vampirique populaire) parfaitement bien écrit et parfois même drôle, Morgane Caussarieu rejoint assurément les grands de la vampirologie française – Jean Marigny, qui signe la préface de l’ouvrage, ne s’y est pas trompé. A ne pas louper. » Vincent Tassy, Obsküre n°15, Mai 2013
Metaluna n°4, Septembre 2013, article de Barbara Sadoul
» UN ESSAI CHAUDEMENT RECOMMANDE »
« De la place de l’esclavage au conflit nord-sud, de l’importance de la Nouvelle Orléans aux relations ambiguës qui existent entre la Louisiane et les minorités, l’auteur ne laisse vraiment rien au hasard, s’appuyant autant sur des ouvrages et films vampiriques que sur des œuvres annexes qui partagent certaines similitudes autant avec le mythe qu’avec la manière dont il s’intègre dans l’ambiance des bayous (notamment la série des Candyman). Tout cela est bien documenté, abonde d’illustrations (qu’on aurait préférées en couleur pour certaines, mais la maquette et la qualité du papier compensent), et écrit avec une plume incisive qui ne manque pas de panache. (…)Un essai chaudement recommandé, qui permet de mieux comprendre l’une des tendances marquante du récit de vampire des 20 – 30 dernières années, qui préférait s’expatrier dans les bayous plutôt que de continuer à régenter son petit monde depuis sa forteresse isolée d’Europe centrale. » Adrien. pour l’ire l’article en entier, c’est ici
« UNE CULTURE HISTORIQUE, SOCIOLOGIQUE ET LITTERAIRE IMPRESSIONNANTE (…) UN ESSAI QUI SE LIT COMME UN ROMAN »
« Comme sans doute beaucoup d’autres lecteurs, j’avais remarqué que fort souvent soit l’action se déroule dans le sud des Etats-Unis sot les vampires en sont originaires, avec une prédilection marquée pour La Nouvelle-Orléans. Morgane Caussarieu (que nous connaissions pour son excellent roman « Dans les veines » chez Mnémos, j’avais eu un coup de coeur pour celui-ci en octobre 2012) s’est non seulement posée la question mais elle a trouvé les éléments de la réponse, qu’elle nous expose dans son étude fort intéressante à lire, « Vampires & bayous. Sexe, sang et décadence » (Mnémos), tout est dans le titre. (…) En trois parties aux titres très explicites : « Le Sud, excroissance du vampire », « Débauche, puritanisme, intolérance » et « Le Vampire, témoin de l’histoire sudiste », elle examine à la loupe, avec une culture historique, sociologique et littéraire impressionnante, les rapports entre l’image du vampire et celle du Sud, démontrant comment l’un ne peut qu’incarner, même inconsciemment, l’autre, sans passer sous silence des aspects qui peuvent être dérangeants comme le racisme, l’homosexualité ou la pédophilie. (…) Elle démontre ainsi de manière convaincante et passionnante comment « La complexité du Sud déteint sur la figure du buveur de sang… livrant un personnage de plus en plus travaillé, charismatique et séduisant… » (p. 224). Illustré de nombreuses photos et gravures, voilà un essai qui se lit comme un roman et qui donne envie de découvrir encore plus cette littérature et ces films. », Jean Luc Rivera, pour lire la critique en entier, c’est ici
« Pour vous, les vampires, c’est Dracula, c’est la Transylvanie, c’est le froid, les châteaux, les chauves-souris…Stop ! Les nouveaux vampires sont chaud bouillant, ils transpirent, ils vivent parmi nous et ne laissent plus les jeunes filles indifférentes.
Depuis quelques années et surtout depuis les Chroniques d’Anne Rice, les vampires s’installent dans le Sud des Etats-Unis, ils ne se cachent plus.
Voilà sur quoi se base Morgane Caussarieu dans son essai : la Louisiane est un lieu propice, un lieu finalement prédestiné aux suceurs de sang. (…) Un point justement que je n’avais jamais relevé et qui pourtant apparait chez Anne Rice : le vampire c’est le maître des plantations, celui qui se nourrit des autres. C’est une sacrée métaphore qui prend tout son sens dans cet essai.Au final, le vampire permet de critiquer la société, il permet d’expliquer l’esclavage, il est une excuse pour la misogynie, la sexualité exacerbée de ce Sud brûlant.
Un vampire noir ? Un vampire homosexuel ? Un vampire tout simplement, rejeté par la société, une erreur de la nature, un fléau à combattre.
J’ai beaucoup aimé toutes ces explications, ces démonstrations si logiques mais qui pourtant ont du m’arriver sous le nez dans cet essai pour que je les saisisse.C’est donc une démonstration assez complète que nous présente Morgane Caussarieu. Une bibliographie et une filmographie à l’épreuve des balles qui donnent envie de voir et de lire nombre de ses références. » Elisa, actusf. Pour lire la critique en entier, c’est ici
« UNE BELLE DECOUVERTE »
« Morgane Caussarieu a connu à la fois le succès critique avec Dans les veines, mais également le succès auprès des lecteurs. (…) elle persévère dans ce domaine avec Vampires & Bayous, un essai autour du mythe du vampire et son renouveau littéraire au cœur de la Louisiane. (…)S’intéressant aux aspects culturels, sexuels et mythiques, du vampire, Morgane Caussarieu parvient à lier d’un seul tenant l’histoire du Sud américain avec les mythes vampiriques, à expliquer la nature de ceux-ci par les faits. Bref, un gros travail de documentation pour un excellent moment de culture pour le lecteur. Il faut également dire un mot sur les illustrations, toujours très bien choisies, qui émaillent cet essai. Qu’il s’agisse de couvertures, d’images issues du cinéma ou de la télévision, chaque fois elles viennent illustrer à merveille le propos de l’auteur.(…) Ce fut pour moi une belle découverte. Morgane Caussarieu nous montre également qu’au-delà d’être auteure de romans, elle peut également évoluer sur un aspect plus scientifique. Bref, si vous aimez les vampires, il faut découvrir ce titre absolument… » pour lire l’article en entier, cliquez ici
Psychovision.net
« Alors que « True Blood » en est à sa sixième saison sur HBO et qu’Anne Rice s’attaque au loup-garou, Morgane Caussarieu nous propose un essai sur la créature la plus connue du fantastique et plus particulièrement à sa place dans la Louisiane où les vampires semblent de plus en plus présents. (…) Partant de la fondation de la colonie où vagabonds et prostituées étaient emmenés pour peupler ce nouveau pays jusqu’à l’ouragan Katrina en passant par la guerre de Sécession, L’auteur nous raconte à la fois la grandeur et la décadence de cet état, mais aussi quels place ont pu y trouver les vampires : celui de communauté marginalisé, celui de souvenir d’une période regrettée ou même cicatrice de cette même période.
Le vampire endosse ainsi plusieurs rôles dont certains qu’il a déjà connu et d’autres dans lesquels ils débutent !
C’est érudit et plutôt intéressant, quoique parfois un peu redondant dans la façon d’aborder les thèmes, insistant trop sur certains points et peut-être pas assez sur d’autres. (…) Le plus intéressant dans cet essai est finalement de découvrir comme Morgane Caussarieu voit le vampire et surtout comme elle a pu le restituer dans son roman sorti l’année dernière : « Dans mes veines« . » Stegg. pour lire la critique en entier, cliquez ici
Note : 7/10
« UN ESSAI PALPITANT »
« Un essai palpitant, une écriture fluide, Vampires et Bayous nous immerge totalement dans l’univers ténébreux et sensuel des buveurs de sang. Cette analyse richement documentée, agréablement illustrée, fondée sur une profonde réflexion symbolique, psychologique et sociale nous permet de mieux comprendre le mythe du vampire de ses origines transylvaniennes jusqu’à sa résurrection en Amérique, à la Nouvelle Orléans, dans cette sulfureuse Louisiane, avec son jazz envoûtant, sa sensualité à fleur de peau, ses tabous sociaux, son vaudou et ses bayous terrifiants, ses clivages raciaux, son rapport tourmenté à l’esclavagisme. La plume incisive de Morgane Caussarieu passe au crible tous les enjeux de la production artistique contemporaine concernant les buveurs de sang : Séries TV, Films, Romans, Musique. Interview d’Anne Rice, analyse de True Blood et Poppy Z Brite, les maîtres du genre sont bien sûr au rendez-vous. Mais l’intérêt majeur de cette étude, c’est qu’elle perce tous les secrets obscurs du vampire : les raisons de sa marginalité, de sa décadence, de sa corruption, les secrets de sa sexualité. Morgane nous donne le goût non pas du sang mais de connaître sans cesse mieux ces mystérieux prédateurs immortels. Elle nous invite à comprendre pourquoi ils nous fascinent par leur pouvoir de briser les tabous, par leur beauté transcendante et leur faculté de libérer les énergies libidinales de l’animal qui sommeille au fond de nous. » Eric Leroc. pour l’ire l’article sur le site, c’est ici.
« Morgane Caussarieu décrit ici les vampires modernes, qui sont plus tangibles et plus humains que leurs prédécesseurs. Je ne partage pas certains de ses avis, bien arrêtés, comme par exemple lorsqu’elle écrit que la série de Charlaine Harris » peine à séduire les lecteurs de plus de 16 ans » (sic). Les illustrations mériteraient d’être en couleur, d’autant plus que certaines photos en noir et blanc sont trop sombres. Au-delà de ces réserves, je salue ici son travail conséquent. Tout en développant son sujet titre, elle explore de nombreuses œuvres vampiriques ayant eu un rôle pertinent dans l’évolution du mythe. » pour lire l’article sur le site, cliquez ici.
« Morgane Caussarieu nous expose donc le comportement terriblement différent entre les vampires aristocratique de l’Ancienne Europe et les vampires de tous les excès de la Lousiane… Sa culture vampirique est très étendue, elle s’étend du classique Dracula ou Carmilla au bien plus moderne True Blood, que ce soit au cinéma, à la télévision ou sur papier , Morgane Caussarieu est incollable sur tous ces vampires qui jalonnent notre culture. (…) La plume caustique et sans politiquement correct de l’auteur en font un récit bien loin des essais guindés qui nous expose leur culture que l’on peut croiser parfois… Un ouvrage vampiriquement enrichissant !!! NOTE : 8 / 10″ Karline pour l’ire l’article sur le site, c’est ici
Librairie L’Antre-Monde
30 mercredi Oct 2013
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inVAMPIRES & BAYOUS : Sexe, sang et décadence, la résurrection d’un mythe en Louisiane
Editeur : Mnémos, collection Ourobores
Date de parution : Mai 2013
Depuis des siècles, le nosferatu est dans l’inconscient collectif un résident d’Europe de l’Est, une créature de Roumanie ou de Transylvanie. Mais à chaque époque son vampire, et il semblerait que celui de ses trente dernières années soit devenu américain : il cacherait désormais son cercueil dans les bayous, en Louisiane !
Morgane Caussarieu analyse comment les amateurs d’hémoglobines, dans les œuvres Southern gothic, deviennent sous la plume des écrivains et les caméras des cinéastes, une somatisation de la culpabilité historique et du malaise du Sud Profond. Tour à tour esclavagiste dans les Plantations, soldat confédéré ou marginal sexuellement décadent, le vampire sudiste — popularisé par le Entretien avec un vampire d’Anne Rice — est une créature complexe qui s’amuse à briser les tabous de la puritaine Amérique. La série TV culte True Blood l’ayant propulsé sur le devant de la scène, il était donc temps de lui consacrer un essai !
Un essai qui mélange Histoire, gender studies et pop culture et offre un voyage fascinant dans le passé traumatisant et sensuel de La Nouvelle-Orléans. Une approche documentée, originale et inédite du vampire écrite dans un style percurtant. Morgane Caussarieu y analyse des oeuvres incontournables comme Âmes perdues de Poppy Z. Brite, Abraham Lincoln, chasseur de vampires, Aux Frontières de l’aube de Kathryn Bigelow.ou Riverdream de George R. R. Martin entre autres. L’essai est préfacé par Jean Marigny, grand spécialiste des vampires.
PRESSE :
« MORGANE CAUSSARIEU REJOINT ASSUREMENT LES GRANDS DE LA VAMPIROLOGIE FRANCAISE » Vincent Tassy, Obsküre n°15
« UNE CULTURE HISTORIQUE, SOCIOLOGIQUE ET LITTERAIRE IMPRESSIONNANTE (…) UN ESSAI QUI SE LIT COMME UN ROMAN » Jean-Luc Rivera, Actusf
« UNE BELLE DECOUVERTE » Mythologica
» UN ESSAI CHAUDEMENT RECOMMANDE » vampirisme.com
30 mercredi Oct 2013
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inDANS LES VEINES
Editeur : Mnemos, collection Dédale
Date de parution : Septembre 2012
Prix : PRIX LITTERAIRE « HISTOIRES DE ROMANS » 2013
nomination : finaliste Prix Masterson 2013, finaliste Prix Futuriales 2013, finaliste prix Merlin 2013, finaliste Prix Augérias 2013
Résumé : La canicule enflamme les nuits bordelaises. Une bande de junkies dévaste un supermarché. Des filles perdues poussent leurs derniers soupirs sur des airs de New Wave tandis qu’on repêche des cadavres exsangues dans la Garonne. Il semblerait qu’un groupe de tueurs dégénérés avides aussi bien de sexe, de drogue, de rock’n’roll que de sang ait élu domicile dans la charmante cité. Des vampires… Le mot absurde et terrible est sur toutes les lèvres sans que personne n’ose le prononcer. Les soupçons du lieutenant Gustave Baron se porte bientôt sur J.F, ancienne punk star qui ne vieillit pas et sa bande de marginaux. De son côté, Lily, la fille unique de Baron, rencontre un jeune homme à la peau trop pâle et au visage d’ange. Elle trouve dans cette passion toxique et mortifère un remède à son mal-être.
Sans tabou, Dans les veines revient à l’essence même de ce qu’est un vampire : un être amoral, violent, à l’érotisme déviant. Le récit, d’une grande noirceur et empruntant aux films gore certaines de ses scènes, se nourrit de la culture underground et redonne au mythe son sombre éclat et sa sulfureuse réputation. Hommage aux récits vampiriques des années 1980, le roman est aussi débridé que ses personnages, pervertissant les relations entre les êtres à une époque où le phénomène Twilight s’acharne à assagir le mythe.
Pour lire les premières chapitres de Dans les veines, cliquez ici
Pour visualiser le teaser, c’est là : https://www.youtube.com/watch?v=08V9D1L_tuw
« LE FANTASTIQUE DEVRA DESORMAIS COMPTER AVEC ELLE ! » Claude Ecken, L’écran Fantastique
« LE MEILLEUR ROMAN DE VAMPIRE DEPUIS LAISSE-MOI ENTRER », Jean-Damien, coup de coeur libraire Virgin Champs-Elysées
« C’EST VRAIMENT L’ANTI-TWILLIGHT ET IL FAUT S’EN REJOUIR », Jean Marigny, spécialiste des vampires
« LA DIGNE HÉRITIÉRE DE POPPY Z. BRITE », Mythologica
« UN COUP DE POING BIEN SENTI DANS LA FACE DE TOUTES CES TWILIGHTERIES. UNE CHOSE EST SÛRE : PUNK’S UNDEAD », Erwann Perchoc, Bifrost
« UN ROAD-MOVIE AU DELÀ DU GORE », Jean-Luc Rivera, Actu SF
« LE ROMAN D’IMAGINAIRE À DEVORER CET HIVER « , Vincent Tassy, Obsküre Mag
« UNE BOMBE DANS LE MILIEU VAMPIRIQUE », Louve
« CAUSSARIEU SAIT DE QUOI ELLE PARLE, ET ELLE EN PARLE BIEN » Gromovar
« SEXE, DROGUE ET ROCK’N’ROLL » Christophe – coup de coeur libraire Fnac Paris-Saint-Lazare
30 mercredi Oct 2013
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in« LE MEILLEUR ROMAN DE VAMPIRE DEPUIS LAISSE-MOI ENTRER », Jean-Damien, coup de coeur libraire Virgin Champs-Elysées
« C’EST VRAIMENT L’ANTI-TWILLIGHT ET IL FAUT S’EN REJOUIR », Jean Marigny, spécialiste des vampires
« LA DIGNE HÉRITIÉRE DE POPPY Z. BRITE », Mythologica
« LE FANTASTIQUE DEVRA DESORMAIS COMPTER AVEC ELLE ! » Claude Ecken, L’écran Fantastique
« UN COUP DE POING BIEN SENTI DANS LA FACE DE TOUTES CES TWILIGHTERIES. UNE CHOSE EST SÛRE : PUNK’S UNDEAD », Erwann Perchoc, Bifrost
« MORGANE CAUSSARIEU JOUE DANS LA COUR DES GRANDS », Marc-Louis Questin, la Salamandre n°17
« UN ROAD-MOVIE AU DELÀ DU GORE », Jean-Luc Rivera, Actu SF
« LE ROMAN D’IMAGINAIRE À DEVORER CET HIVER « , Vincent Tassy, Obsküre Mag
« DANS LES VEINES EST UN RECIT QUI EMPORTE JUSQU’AU BOUT DE LA NUIT », Deborah Gay, Dailymars.net
« CAUSSARIEU SAIT DE QUOI ELLE PARLE, ET ELLE EN PARLE BIEN » Gromovar
« SEXE, DROGUE ET ROCK’N’ROLL » Christophe – coup de coeur libraire Fnac Paris-Saint-Lazare
« POUR LECTEURS TRES AVERTIS », journal le Sud-Ouest
L‘Écran Fantastique :
« LE FANTASTIQUE DEVRA DESORMAIS COMPTER AVEC ELLE ! »
« Morgane Caussarieu nous livre un récit sans concession, ne reculant devant aucune cruauté ni détail sordide, avec une écriture très sûre. Concernant un premier roman écrit à 24 ans, cette punkette au look extrême frappe fort, très fort ! Le fantastique devra désormais compter avec elle. » Claude Ecken dans L’écran Fantastique n°336 de Novembre 2012.
Bifrost :
« UN COUP DE POING BIEN SENTI DANS LA FACE DE TOUTES CES TWILIGHTERIES. UNE CHOSE EST SÛRE : PUNK’S UNDEAD »
« Faune interlope, keupons, camés, vampires de pacotilles ou réels… Stupre, viol, drogues, tortures, inceste… Il coule du sang, de la sueur, des larmes, du sang, du sang, du sperme, de la dope, et encore du sang. ça dégouline et ça suinte de partout. On a droit à la totale, autant avoir l’estomac bien accroché.(…) Un coup de poing bien senti dans la face de toutes ces Twilighteries. ça défoule, et tant pis si ça en incommode certains. Une chose est sûre : punk’s undead. » Erwann Perchoc, Bifrost numéro 69, Janvier 2013
Obsküre Mag :
« LE ROMAN D’IMAGINAIRE À DEVORER CET HIVER «
« Avec Dans les Veines, le premier roman de Morgane Caussarieu, on exulte avant même d’avoir lu la première page. On sait qu’on va être furieusement chez soi, dans ce Bordeaux noir et sanglant ; qu’on va renouer avec une cruauté vampirique qu’on croyait perdue ; qu’on ne va plus dormir, autant parce qu’on va se prélasser dans ses ténèbres pour ne jamais les quitter jusqu’à la fin, que parce que l’horreur y sera à son comble. Si Obsküre n’avait pas parlé de ce roman, cette année, alors il n’aurait parlé d’aucun roman : sur fond de post punk et de new wave, Dans les Veines retrouve l’essence suprêmement macabre des suceurs de sang, et se permet même le luxe, par petites touches, de prendre en dérision la tendance actuelle du vampire littéraire – beaucoup trop sage pour nous affrioler : en gros, voici LE roman d’imaginaire à dévorer cet hiver. » Vincent Tassy.
Et pour lire L’INTERVIEW DE MORGANE CAUSSARIEU sur Obsküre magazine, cliquez ici
Une autre critique, très élogieuse, du même VINCENT TASSY, sur Babelio :
« DANS LES VEINES REPRÉSENTE PEUT-ÊTRE CE QUE LA LITTÉRATURE VAMPIRIQUE FAIT DE MIEUX À NOTRE ÉPOQUE »
« Dans les veines est le roman à crocs que beaucoup attendaient. Formidablement rythmé, passionnant, rouge de partout, il représente peut-être ce que la littérature vampirique peut faire de mieux à notre époque. Parce qu’il est bardé de références mais que ça ne l’empêche pas d’être lui-même, ce roman spongieux et méphitique s’avale avec un immense plaisir ; ceux qui ont été touchés par l’excellent Âmes Perdues de Poppy Z. Brite ne manqueront pas de retrouver les atmosphères humides et tourmentées qu’ils ont adorées, et les autres, que la tendresse lasse, et qui aimeraient voir offrir au mythe vampirique autre chose que le consensus dans lequel il sombre depuis quelque temps, devraient exulter. (…)D’une efficacité redoutable, remarquablement visuel et bien construit – on rêve, mais vraiment, de le voir un jour au cinéma -, Dans les veines mérite beaucoup de reconnaissance, et espérons qu’il sera récompensé comme il le mérite dans les mois à venir. »
Journal le Sud-Ouest – 30 septembre 2012 :
« POUR LECTEURS TRES AVERTIS »
Jean Marigny, Spécialiste des vampires :
« C’EST VRAIMENT L’ANTI-TWILLIGHT ET IL FAUT S’EN REJOUIR »
« J’ai lu Dans les veines et j’ai beaucoup aimé. Je trouve que pour un premier roman, il est excellent. Cette histoire, qui rappelle les romans de Poppy Z. Brite, est originale, très bien écrite, et tient le lecteur en haleine jusqu’au bout. C’est vraiment l’anti-Twilight et il faut s’en réjouir. Les personnages sont attachants, et tout particulièrement Gabriel que je trouve fascinant. (…) Il rejoint la petite Claudia d’Anne Rice et l’héroïne de Laisse-moi entrer dans la galerie des enfants monstres.« Jean Marigny, auteur (entre autre) de : Vampire, De la légende au mythe moderne, La Martinière ; Sang pour sang, le réveil des vampires, découverte Gallimard
Fnac
« SEXE, DROGUE ET ROCK’N’ROLL »
« A l’opposé du courant bit-lit, ce roman revient aux sources du mythe du vampire, c’est-à-dire de véritables monstres, qui tuent pour se nourrir mais aussi par plaisir et qui aiment voir souffrir leurs victimes. Servi par une écriture maitrisée. Sexe, drogue, rock’n’roll ! A ne pas mettre dans toutes les mains ! » Christophe – coup de coeur libraire Fnac Paris-Saint-Lazare – voir la critique sur le site de la Fnac
« LE MEILLEUR ROMAN DE VAMPIRE DEPUIS LAISSE-MOI ENTRER », Jean-Damien, coup de coeur libraire Virgin Champ-Elysés
Fanzine La Salamandre
« MORGANE CAUSSARIEU JOUE DANS LA COUR DES GRANDS »
« Attention dynamite ! Le tout premier roman de Morgane Caussarieu, âgée seulement de 24 ans, est une véritable bombe. (…) L’écriture jouissive et radicale de Morgane Caussarieu broie le lecteur entre ses griffes. Âmes sensibles s’abstenir ! Que tous ceux qui apprécient les romans terrifiants de Graham Masterton, les thrillers horrifiques de Sire Cedric, et les récits hantés de Virginia Schilli soient ici rassurés. Morgane Caussarieu joue dans la cours des grands. (…) (elle) écrit comme un boxeur. Chaque phrase cogne avec une effarante précision. Impossible de lacher ce satané bouquin avant d’en connaitre la fin. La drogue, l’inceste, le sexe et le désir, la magie du sang et les rythmes du rock, les hallucinations et les rêves absolus, tout se mêle et s’étreint en une tragique et délicieuse sarabande. (…) vous pourez apercevoir le visage du Mal, de la douleur et de l’extase confondues. » Marc-Louis Questin, la Salamandre n°17
Mad Movies :
« BIEN PARTI POUR TRAUMATISER LES AMATEURS DE BIT-LIT »
« Premier roman de Morgane Caussarieu, fan d’Anne Rice, de Poppy Z. Brite, de Jack Ketchum et du Marquis de Sade, Dans les veines sort aujourd’hui aux Editions Mnemos et semble bien parti pour traumatiser les amateurs de Bit-Lit, puisque le vampire y est décrit comme ce qu’il est : un monstre cruel et pervers, le tout au sein d’une intrigue rendant hommage à Génération perdue, Les Prédateurs et Aux frontières de l’aube dans le milieu underground Bordelais. » Cédric Delelée – pour voir la news sur le site Mad Movies c’est ici.
Mythologica
« LA DIGNE HÉRITIÉRE DE POPPY Z. BRITE »
« La couverture de Bastien Lecouffe-Deharme est à l’égal de l’ensemble de son œuvre ces dernières années : magnifique. Tranchant avec ce qui se fait actuellement en matière de romans vampiriques (…), il parvient à saisir l’essence même de l’œuvre de Morgane Caussarieu dans ce qu’elle a de plus sombre, de plus inquiétant… (…) Dans les veines ne m’a pas semblé, au cours de sa lecture, être un premier roman tant Morgane Caussarieu a totalement géré son récit, son style et ses personnages de bout en bout. Aucune fausse note, un ensemble d’une cohérence impressionnante, bref cette auteure, si elle confirme cette première impression par un second roman, s’installera rapidement comme une des plumes montantes du fantastique français. Digne héritière de Poppy Z Brite, il s’agit là d’un roman qui devrait lui valoir un beau succès à mon avis… » deuskin. pour lire la critique en entier, cliquez ici.
Bibliothèque orbitale de Bifrost, le blog du bélial (émission radio, saison 2, épisode 3).
« DANS LES VEINES N’EST PAS LE GENRE DE ROMAN FAIT POUR MOI, N’EMPÊCHE QUE JE NE REGRETTE PAS UN SEUL INSTANT SA LECTURE »
« Morgane Caussarieu prend un malin plaisir à tordre le cou à tous les clichés romantico-neuneud de la bit-lit actuelle et à asperger son petit monde d’hectolitres d’hémoglobines, de foutres et de sécrétions corporelles diverses. (…) Elle fait évoluer (ses vampires) dans un univers qu’elle semble connaitre sur le bout des doigts, celui de la scène gothique et des soirées batcave, où ses créatures s’y retrouve comme des poissons dans l’eau. Face à eux, Lily est une adolescete qu’on a souvent envie de gifler mais qu’on ne peut s’empécher de trouver émouvante (…) Le portrait que fait d’elle Morgane Caussarieu est particulièrement juste et nettement plus fin qu’on pourrait le croire à première vue. (…) une bonne dose d’outrance et de mauvais gout (…)Dans les veines souffre quand même (…) d’une écriture trop fonctionnelle (…) et d’une enquête policière ridicule dans son déroulement. C’est parfois génant, mais jamais rédibitoire.(…) N’oublions pas que Morgane Caussarieu n’a que 24 ans. Au final, Les qualités du livre compense plus que largement ses défauts. Oui, en effet, Dans les veines n’est pas le genre de roman fait pour moi, n’empèche que je ne regrette pas un instant sa lecture ! » Philippe Boulier. Pour écouter l’émission dans son intégralité, c’est ici. Dans les veines y est chroniqué en dernier !
Appuyez sur la touche lecture : Le blog de Joyeux Drille
Une analyse complète de Dans les veines par Joyeux Drille : http://appuyezsurlatouchelecture.blogspot.fr/2013/04/les-gentils-vampires-ca-nexiste-pas.html
Quoi de neuf sur ma pile ? Le blog de Gromovar.
« CAUSSARIEU SAIT DE QUOI ELLE PARLE, ET ELLE EN PARLE BIEN »
« Caussarieu sait de quoi elle parle (est-on sûr qu’elle n’a que 24 ans ?), et elle en parle bien. (…)Étonnamment, pour une personne née 11 ans après la mort de Marc Bolan, 9 après celle de Sid Vicious, et 3 après la fermeture de la Batcave à Londres, les références de l’auteur tombent juste (…) Il est facile de citer, plus difficile de placer ; c’est fort bien fait ici. Caussarieu s’offre même un luxe de vieux briscard : se moquer de la nouvelle génération de « gothiques »(…) Laissons-là le rock et venons-en aux vampires qui animent « Dans les veines ». La maîtrise du sujet impressionne encore. Caussarieu a visiblement beaucoup lu, beaucoup vu, et bien digéré le tout (…) Elle retrouve, par l’ambiance splatterpunk à la Poppy Z. Brite qu’elle instille, toute d’odeurs, de sons, de goûts, et de moiteur, la corporalité profondément matérielle et sexuelle des vampires du XIXème siècle (…)En notre temps où suggérer n’est plus de mise, Caussarieu montre, décrit, détaille jusqu’à l’écœurement les actes de créatures dont la survie implique le transfert très régulier de fluides corporels, quels qu’ils soient. (…) Bourreaux et victimes à la fois, membres désolés d’une « famille » névrotique composée par la volonté de l’enfant monstrueux Gabriel, le plus vieux, le plus pervers, et sans doute le plus fragile de tous, les vampires de Caussarieu font ce qu’ils doivent et ont appris à aimer ce qu’ils font.(…) Caussarieu revitalise, régénère même, le mythe et la figure du vampire qui en avaient bien besoin. Elle fait montre, durant les 300 pages du roman, d’un estomac dont peu d’auteurs sont capables (…) livre des dialogues crédibles et justes. Elle écrit, régulièrement, des phrases qui ont une vraie beauté stylistique, épurées jusqu’à l’essentiel. » Gromovar. Pour voir la critique dans son intégralité, cliquez ici
Et pour l’interview de quoi de neuf sur ma pile, c’est ici
« UN ROAD-MOVIE AU-DELÀ DU GORE »
« Ici, pas de vampire aristocratique et raffiné, seigneur au sommet de la chaîne alimentaire : nous avons affaire plutôt à une meute de hyènes qui se nourrissent des faibles, des jeunes, des malades, des drogués et qui abusent de leur force avec une délectation malsaine et jouissive.(…) L’auteur nous décrit avec un langage particulièrement dur, sans concession aucune, la « virée » ultra-violente d’une bande de quatre vampires, accompagnée de trois drogués réduits à l’état d’épaves et d’un chien particulièrement répugnant. L’auteur ne nous épargne rien, avec des descriptions fort graphiques de toutes les tortures, crimes et perversions (…) – la scène de transformation de J.F. en vampire (p. 200 et sq.) est un morceau d’anthologie -, une sorte de « road movie » au-delà du gore, sans aucun espoir de rédemption, à la fois tragique et pathétique. Bref, ce roman est aux antipodes de tout ce que j’aime et je n’ai pas pu le lâcher, ressentant ce mélange très efficace de répulsion et de fascination qui réveille nos instincts de voyeur malsain (…). Une grande expérience de lecture, difficile et passionnante mais à déconseiller aux âmes sensibles ! » Jean-Luc Rivera, pour la critique en entier sur le site d’actu SF, c’est ici !
Le roman a aussi été chroniqué par Jérôme Vincent sur Actu SF : c’est ici !
Et pour lire l’interview Actu SF de Morgane Caussarieu, cliquez ici.
Dailymars
« DANS LES VEINES EST UN RECIT QUI EMPORTE JUSQU’AU BOUT DE LA NUIT »
« Par Dans les veines, roman assez graphique et sanglant, elle apporte sa touche et sa version au mythe du vampire, avec originalité, tout en gardant certains fondamentaux (non, ils ne se transforment pas en diamants au soleil, ils crament). Roman punk, par ses personnages (le buveur de sang Jeff et ses amis camés), son message nihiliste et sa bande sonore, Dans les veines est un récit qui emporte jusqu’au bout de la nuit, si on a l’estomac bien accroché. » Deborah Gay
Fantastinet
« UN AUTEUR QUI DEVRAIT NOUS SURPRENDRE ENCORE À L’AVENIR »
« L’ambiance est totalement oppressante du début à la fin et certains passages mettent vraiment mal à l’aise.(…) Un auteur qui devrait nous surprendre encore à l’avenir. » Allan. pour la critique en entier, c’est ici.
Church of Nowhere
« Pervers, décadents, violents et amnésiques, les vampires de Morgane Caussarieu sont de vrais êtres de la nuit, dévorés pas la soif et l’ennui. (…) Un des tours de force de Dans Les Veines est de s’attacher à une galerie de personnages psychologiquement très bien croqués et évitant tout manichéisme, ici l’ombre est partout, chaque être est un clair-obscur fascinant.(…) En mettant ses protagonistes humains ou vampires sur un pied d’égalité, Morgane Caussarieu dresse un portrait crépusculaire du genre humain (…) Un autre point fort du livre est son encrage et son background qui parlera aux plus gothiques/punks d’entre vous. De backrooms aux squats, des free parties à l’arrache aux soirées décadentes et rock’n’roll, les lieux les plus interlopes sont parcourus par des personnages sans repères, sans âmes, sans âges.(…)Avec des titres de chapitres comme « Marre de jouer les Rendfield pour un Dracula de mes deux », des parodies du mouvement vampyrique et de son leader Father Sebastian ou de caricature de jeunes jouant au vampire dont un dénommé Nothing ( !), on voit que l’auteure a traîné ses guêtres dans le milieu et tout en rendant un sincère et bel hommage au genre, n’oublie pas de relever ses dérives dans un humour très noir. Mélange brillamment écrit d’horreur splatterpunk, de polar et de littérature vampirique, Dans les veines deMorgane Caussarieu réussit la fusion et l’appropriation de ses modèles pour redonner du sang neuf et de l’énergie désespérée au genre dans ce livre très noir, dérangeant et puissant. » Twain pour lire la critique en entier, c’est ici
« LE MYTHE DES VAMPIRES RETROUVE UN SOUFFLE NOUVEAU »
« Une véritable découverte de cette année 2012, une entrée fracassante pour cette jeune auteure de 24 ans! Dans ce livre, le mythe des vampires retrouve un souffle nouveau et sa puissance d’antan! » chaton pour lire la critique en entier, cliquez ici
« Un très bon roman mais peut-être plus tout à fait pour moi. Je suis devenue optimiste. « Morgaxia. pour lire la critique en entier, cliquez ici
Les victimes de la louve :
« UNE BOMBE DANS LE MILIEU VAMPIRIQUE »
« Quelle gifle que ce roman ! Un véritable bijou de la littérature vampirique comme je n’en ai pas lu depuis longtemps ! (…) Ce roman est un véritable page-turner (…) Très sincèrement, j’en redemanderais volontiers !(…) Fans de Twilight fuyez parce qu’ici le mythe du vampire reprend du poil de la bête.(…) Pour tous les vrais fans de vampires, n’hésitez plus, jetez-vous sur cette perle à posséder à tout prix dans sa bibliothèque (…) En bref, sachez que ce roman est une bombe dans le milieu vampirique.« Louve – pour voir la critique dans son intégralité, cliquez ici.
Vampirisme.com
« DANS LES VEINES MONTRE RAPIDEMENT LES DENTS POUR NE PLUS LÂCHER SA PROIE JUSQU’À LA DERNIERE PAGE »
Ce roman français dont l’intrigue prend place dans un Bordeaux underground montre rapidement les dents, pour ne plus lâcher sa proie qu’à la dernière page. (…) un plantage de décor faisant penser à du Poppy Z Brite, avec une nostalgie très assumée pour le post-punk, le new wave, le batcave, etc. cristallisée par un des vampires, dit J.F., réincarnation de Sid Vicious, et le club le Bathory. Au-delà, cet univers splatterpunk est gangrené par la drogue, la saleté, l’absence de bonté, le sexe sans partage. Là où Poppy établissait à travers tout ça une esthétique, une recherche de l’art, de l’absolu, pour plusieurs personnages, ici, la pourriture n’a rien d’une charogne Baudelairienne, il n’y a pas de rédemption ou de soulagement, sinon peut-être dans le plaisir que l’on éprouve à infliger le mal à l’autre. (…) c’est un roman qui réjouira sans doute, effectivement, ceux qui ont lu des histoires de vampires dans les années 1980-1990 et qui fera date pour ceux qui découvrent. On ne peut pas dire pour autant que c’est daté : Caussarieu introduit par exemple un peu de contemporanéité avec la mise en scène d’un petit groupe de vampyres qu’elle tourne en ridicule. » Senhal – pour voir la critique dans son intégralité, cliquez ici.
Pour lire l’interview de Morgane Caussarieu sur vampirisme.com, c’est ici.
Blog Lili.MLire
« UNE VERITABLE GIFLE »
« J’ai été complètement bluffée. Le style est très visuel, et, j’ai eu l’impression d’être dans un film pendant tout le bouquin (…) On a aucun temps mort.(…) La sensualité se décline en mode gore. (…) C’est un voyage intense que nous propose Morgane Caussarieu , mais pas une gentille ballade, non, plutôt une cavale effrénée en mode hallucinée dans un monde violent. (…) je ressors à peine de cette ambiance survoltée et de cet univers extrême, et j’ai été bousculée , dérangée , mais surtout captivée par cet auteure dont c’est le premier roman et qu’elle maitrise complètement du prologue jusqu’aux toutes dernières pages J’ai pris une véritable gifle, et j’ai adoré, voilà … » Lili. Pour lire la critique en entier c’est ici
« UN CRI VISCERAL, PARLANT À L’ADO QUI SURVIT EN NOUS »
« Pas de gentil Angel ou Edward s’essayant à la repentance, les monstres sont de sortie et assument la bête qui est en eux (…) Mais les monstres n’ont pas que des dents pointues. En effet, Morgane Caussarieu nous brosse autant de portraits d’une humanité perdue, égoïste, sans morale, vivant selon sa propre complexion. Ainsi, tout en refondant le mythe du vampire, il me semble que l’auteure offre sa vision d’une société à la violence contenue, individualiste et sans repère. Elle nous montre aussi une adolescence révoltée et perdue, cherchant à « s’affranchir du père » mais ne trouvant pas de solution viable à un nouveau mode de vie. (…) L’auteure assouvit son œdipe avec Meyer et cherche à dépasser maman Rice. En effet, elle montre une véritable connaissance des références du genre. Elle s’adosse dessus pour mieux les plier, jouer avec. (…) C’est avec plaisir que j’ai tenté de suivre les petits cailloux disséminés le long de son schéma narratif qui sont une des clés de lecture.(…) Morgane Caussarieu écrit bien, elle signe un premier roman maîtrisé qui plaira à ceux qui ne supportent plus les bluettes vampiriques. (…) un cri viscéral,(…) tout à fait parlant à l’ado qui survit en nous et qui demande parfois à se faire entendre, sans le filtre de la bienséance… » StepH, pour lire la critique dans son intégralité, cliquez ici
« LA VERSION TRASH ET PUNK DE TWILIGHT »
note :8/10 « Dans les veines, c’est un peu la version trash et punk de Twilight, mais aussi un vrai roman d’horreur, du genre sanglant et sans concession, où chaque scène semble avoir été écrit comme un uppercut (…) Morgane Caussarieu reprend en main les bases du mythe pour mieux les renouveler dans un roman glauque et malsain. » Stegg, pour la critique en entier sur le site de psychovision, c’est ici !
Sueurs Froides
« Personne n’est totalement bon mais personne n’est totalement mauvais non plus. Il aurait été assez facile de prendre le contre-pied systématique de TWILIGHT pour en faire une version sexe/gore/trash. Non, beaucoup plus intelligement, Morgane Caussarieu fait vivre des personnages authentiques, jamais d’une pièce. Ses vampires sont d’abominables créatures de la nuit, oui, des ordures ennemies du genre humain, mais aussi des désespérés constamment victimes de leurs penchants sanguinaires et qui rêvent de leur humanité perdue. Tous sont ainsi : l’enfant-vieillard, le punk comme la Japonaise ou l’amant transi. (…)Le final est sanglant, tragique, beau, désespéré. Est-ce qu’une histoire aussi sombre ne devrait pas forcément s’achever ainsi, dans le sang et la souffrance ? Une histoire de vampires aussi extrême pourrait-elle connaître une autre fin ? Autant dire que nous lirons avec joie un autre roman d’horreur de Morgane Caussarieu, déjà auteure d’une étude sur le vampirisme. »Patryck Ficini pour lire l’article en entier c’est ici
Avenue de l’horreur :
« TREMBLEZ, L’HORREUR VOUS A DONNÉ RENDEZ-VOUS «
« Dans Les Veines renoue avec le roman vampirique sanglant et monstrueux ! Il bouleverse tout ce qu’on peut lire en ce moment et donne une nouvelle valeur à la terreur. Oubliez tout ce que vous pensiez savoir sur le vampire et tremblez, l’horreur vous a donné rendez-vous ! »- pour voir la critique dans son intégralité, cliquez ici.
« UN RECIT VENENEUX ET ADDICTIF »
« L’histoire se déroule à Bordeaux et pourtant l’ambiance d’Ames perdues de Poppy Z Brite ressurgit dès les premières pages. Tout comme l’auteur américaine, Morgane Caussarieu parvient à tisser un récit vénéneux et addictif où les scènes les plus difficiles ne sont pas seulement écrites pour choquer, elles prennent aux tripes. (…) Ce qui étonne le plus c’est l’émotion qui transpire du récit, l’on pourrait croire cet aspect occulté par l’afflux d’hémoglobine mais il n’en est rien. Le personnage de Lily, une adolescente brisée, est le premier à nous toucher, puis c’est au tour du vampire Damian de nous émouvoir. (…) Le roman est riche et réunit en fait tous les thèmes qui ont fait l’intérêt du mythe vampirique : la transgression, la question de la monstruosité notamment. La trame du livre est très bien construite, les personnages sont nombreux et chacun possède son langage, son vécu et ses failles. Impossible de cesser de tourner les pages jusqu’à la fin. A une époque où la bit-lit et le young adult envahissent les rayons, ce livre est une vraie bouffée d’oxygène qu’on attendait plus. » Céline Rosenheim, auteur de À l’Encre de tes veines. – pour voir la critique dans son intégralité, cliquez ici.
« UN LIVRE QUI DERANGE »
« Dans les veines est un livre qui dérange(…)j’ai eu la nausée à certains moments dans cet ouvrage. (…) Le défaut principal, selon moi, c’est la surenchère dans le gore, le glauque, l’horreur, bref la panoplie complète du crade. (…)Ce livre est plongé dans une obscurité sans fin, il n’y a pas une tache de lumière.(…) Si on passait au positif ? L’écriture. Audacieuse, puissante, pleine d’images oppressantes personnifiant le décor pour renforcer cette ambiance malsaine et malodorante. Car oui, en lisant, j’ai eu l’impression que mon odorat s’était activé. Bref, vous l’aurez compris, c’est sans conteste la plume de Morgane qui vous porte de bout en bout de ce récit.(…) Je dois dire qu’il y a de l’originalité dans la manière de traiter le Nosferatu. (…) le vampire de l’auteure aime tous les fluides corporels. J’ai bien dit TOUS. Salive, larmes, sécrétions vaginales, sperme, sueur… Et ça, c’est tout bonnement génial, car ça renforce le côté pervers de notre petit groupe. Et la chose que j’ai certainement le plus appréciée, en dehors de l’écriture, c’est la psychologie de ses personnages, notamment celle des vampires. Chapeau bas, Mlle Caussarieu ! Chacun d’eux m’a marquée, que ce soit par leur physique ou leur tempérament. (…) On ne peut renier le talent de Morgane Caussarieu, qui a une plume superbe et une fine maîtrise de la psychologie de ses personnages. Elle est une auteure douée, c’est indéniable. J’espère la retrouver pour un roman moins glauque, et si cet univers est vraiment sa marque de fabrique, tout le mal que je lui souhaite, c’est de trouver son public. » Julie – pour voir la critique dans son intégralité, cliquez ici.
« UN EXCELLENT PAVÉ DANS LA MARE DU FANTASTIQUE TERREUR »
« Vous n’appréciez pas du tout la mouvance Bit-Lit, trop c’est trop, c’est bon les gentils vampires!!!! Soyez heureux, voilà un ouvrage de vampires où ils ne sont ni gentils, ni agréables! (…)Morgane Caussarieu avec son écriture sans aucune concession, parfois crue, parfois cruelle mais toujours précise, nous entraine dans un monde où les vampires se révèlent des êtres sans moral, uniquement préoccupés par la satisfaction de leurs besoins primaires, violents et sans aucun scrupule.(…) Etonnant qu’une jeune femme de 24 ans sache faire vivre son histoire avec autant de talent. Parce qu’elle vit, cette histoire, même si elle parle de mort! Pour un premier ouvrage, c’est un excellent pavé dans la mare du Fantastique Terreur!!!! Auteur à suivre!!! » Elizabeth- coup de coeur Libraire Fnac Annecy – pour voir la critique dans son intégralité, cliquez ici.
Les livres de Karo
« DES PERSONNAGES CHARISMATIQUES ET PROFONDS »
« Loin des trucs végétariens brillant au soleil de Stéphanie Meyer qui se font appeler vampires, il existe encore heureusement des auteurs qui ne dénaturent pas le mythe et redonnent un peu de charisme à ces créatures de la nuit. (…)
Déjà, le premier chapitre nous donne le ton du livre. Dans le métro, une femme aux longs cheveux noirs serre un bébé dans ses bras, une scène plutôt émouvante pour les autres voyageurs… Sauf que le nourrisson sera jeté dans une poubelle un peu plus tard, exsangue et froid… (…)
C’est un roman très accrocheur et envoûtant que nous offre ici Morgane Caussarieu. le fantastique et la réalité s’entremêlent parfaitement, et l’intrigue générale est très bien menée. le langage cru, violent, souvent vulgaire convient parfaitement à cet univers underground que l’auteure a ici retranscrit, et à cette histoire dans laquelle tous les tabous sont levés (meurtres d’enfants, torture, viols, inceste…). Les personnages sont très charismatique et profonds, ils ont tous une raison d’être et on s’attache facilement, même aux plus cruels d’entre eux. Mais j’avoue que certaines scènes m’ont vraiment choquée. (…) j’ai quand même pris beaucoup de plaisir à lire ce roman addictif, et malgré ces scènes de tortures que je trouve superflues, j’en garde un très bon souvenir et j’attends de voir l’évolution de cette jeune auteure avec impatience. » Karo No Hon, pour lire la critique dans son intégralité, c’est ici
Sybulline
« C’est sans concession que Morgane Caussarieu massacre les petites vies. Des vieilles gens faisant leurs courses au supermarché, réalisant leur jeunesse perdue au rayon PQ, de la caissière obèse qui tient là l’unique aventure de sa misérable petite vie paisible, au grotesque des vies quotidiennes (de cette absence de vie) se mêlent créatures surnaturelles brisant l’ordre établi,monotone, trop insipide pour ces créatures qui s’y épanouissent à leur manière, flétrissant tout sur leur passage mais ainsi auréolant de couleurs nouvelles, plus vives, plus criardes, plus cruelles et dont lecteurs nous délectons, ces figures ternes. Ces vampires sont humains, trop humains dans l’affranchissement de leurs travers: sans limite, au delà des limites, plus vivants que ces morts au sang chaud dont ils se nourrissent. » pour l’article en entier, c’est ici
REVERENCE SATEENKAARI
« UNE JOLIE CLAQUE DANS LES DENTS »
Avec cet ouvrage, je retrouve un genre que j’aime tout particulièrement et cela faisait bien longtemps que je m’étais pas envoyé quelques 308 lignes comme ça… Pas besoin d’acide ou de poudre blanche, au tiroir les petites cuillères, les mots de l’auteur suffisent amplement à nous faire décoller pour mieux plonger au c?ur d’une Bordeaux sombre et sanglante aux relents de New Orléans. Morgane Caussarieu, une Poppy Z Brite à la française ? Sur un seul texte c’est assez délicat à dire, mais j’ai quand même bien envie de clamer : Oui, sans ambages ! On y retrouve cette même esthétique en partie liée à la culture « underground », trash, sombre, gothique dans un acception 80’s du terme…. une manière de présenter les choses, de trouver comment faire ressortir le beau dans le sale et le mal, d’évoluer dans les eaux les plus glauques… Bref j’aime !Je me suis prise une jolie claque dans les dents et peut le dire : il n’a peut-être pas gagné le prix Bob Morane, mais ce fut un coup de coeur! Rien à faire quand un tel face à face avec autant de monstres, humains et inhumains, est aussi bien écrit et mené, j’adhère et j’adore. » http://reverence-sateenkaari.blog.fr/2015/04/23/dans-les-veines-est-un-achat-des-oniriques-absolument-non-20251116/
BENEDICT MICHELL
« Une réussite complète, une réinterprétation originale du mythe vampirique qui sort enfin des sentiers battus et de la mouvance » cul-cul-la-praline » de ces dernières années. » http://benedictmitchell.over-blog.com/2015/04/dans-les-veines-de-morgane-caussarieu-2012.html
DULJUVAFRIHET
Paradoxalement, j’ai beaucoup aimé ce roman que j’ai lu assez vite. J’ai mis « paradoxalement » parce que ce livre est malsain voire crade. Vous l’aurez compris, les vampires ne sont pas des saints et même ce Damian qui semble être attachée à Lily et encore moins l’enfant-vampire Gabriel, le pire de tous. Toutefois, on est loin des méchants vampires et gentils humains. Entre inceste, scènes de sexe où la douleur, le plaisir, le sang, le sperme et autre sécrétions naturelles se mélangent, l’auteur n’épargne pas le lecteur et ce livre est à déconseiller pour les âmes sensibles. Pour ceux qui connaissent, on pourra même retrouver une ressemblance avec Âmes perdues de Poppy Z.Brite où la scène underground et ses adeptes paumés (pas tous hein ! :D) sont tout autant un terrain de chasse pour les vampires qu’un moyen pour critiquer la société. http://duljuvafrihet.wordpress.com/2014/06/02/morgane-caussarieu-dans-les-veines/
LE VENT DES STEPPES
Voilà un roman foisonnant et plutôt difficile à résumer dont l’esthétique un peu patchwork tient du polar et du fantastique, avec des passages dignes de films gores. L’auteure construit son récit comme une enquête à travers laquelle se dévoilent depuis divers points de vue, principalement celui de Lily qui devient proche de l’un d’eux, des tranches de la vie – ou plutôt de la non-vie ! – des vampires. Alors que les vampires se sont un peu assagis, affadis pourrai-t-on dire, dans la littérature fantastique de ces dernières années, on revient ici à des personnages plus proches de la figure originelle du vampire, un être cruel et immoral, ne séduisant ses proies que pour mieux les saigner. Modernité oblige, ces vampires se conduisent comme des adolescents punks attardés. Cela les rend d’autant plus proches des humains que ces derniers se révèlent être à leur tour capables des pires cruautés. La perversion de ces êtres de l’ombre ne serait-elle que le reflet de celle des humains ? http://leventdanslessteppes.blogspot.fr/2014/06/vampirologie.html
Librairie L’Antre-monde
« UNE BELLE GALERIE DE VAMPIRES, À LIRE AVEC LES MUSIQUES CITÉES À FOND »
La première chose marquante à la lecture de ce livre est le style et vocabulaire très froid, distancié et proche de la rue qui m’a fait pensé au livre « Laisse-moi entrer » de John Ajvide Lindquist. Chaque chapitre construit autour du détournement d’une situation banale qui introduit le vampire en question avec ni la forme ni le comportement auxquels le lecteur s’attend (tantôt mère de famille supposée tranquille avec son enfant, junkie croisé au hasard des rues ou enfants !).
Nul romantisme : les vampires sont sauvages, violents et pas très enclin aux grandes conversations et autres épanchements sentimentaux. Leur moteur principal est leur soif et ils voient les vivants comme simple nourriture qu’il faut déchiqueter pour en tirer la substantive moelle !
Les multiples références et citations à la culture Underground et films indépendants de vampires (« Aux frontières de l’aube » de Kathryn Bigelow, Poppy Z. Brite, Robert Smith, Siouxsie and the banshees…) impose d’emblée une ambiance sans concession ni fausse compassion.
En conclusion : une belle galerie de vampire proche de « 30 jours de nuit » de Steve Niles et Ben Templesmith à lire avec les musiques citées à fond ! » Taly Lefèvre
Mordue de vampires !
« UN UNIVER SOMBRE QUI MÊLE PUNKS, GOTHIQUES, JEUNES À LA DÉRIVE, PARENTS DEVIANTS ET MONSTRES PSYCHOTIQUES »
« Les vampires de ce roman sont des marginaux animés par une soif de sang inextinguible, des instincts sadiques et violents. Prenant plaisir à faire souffrir et à tuer, ils rappellent les vampires des années 80, comme les héros du roman » Ames perdues » de Poppy Z Brite ou ceux du film » Aux frontières de l’aube » de Kathryn Bigelow. Avec ce premier roman, Morgane Caussarieu décrit un univers sombre qui mêle punks, gothiques, jeunes à la dérive, parents déviants et monstres psychotiques. J’ai apprécié cette ambiance morbide, agréablement différente de la mode bit-lit actuelle » Katia. Pour voir la critique dans son intégralité, c’est ici.
« CA FAIT UN PEU THRILLER DU TERROIR »
« Je salue les éditions Mnémos pour avoir publié un contenu aussi détonnant et dérangeant par moment. (…) Aux premiers chapitres, je n’ai pu m’empêcher de penser à Sire Cédric : le roman est clairement ancré géographiquement, on sent que l’auteur connait le coin, et ça fait un peu thriller du terroir. (…) au final, j’en attendais sans doute trop de Dans les veines. Si le style incisif, l’audace de l’auteur et les références à foison sont clairement plaisantes, tout cela ne suffit pas pour en faire un bouquin qui me marquera comme un Âmes Perdues ou un Angemort. Ce n’est pas mauvais pour autant, mais voilà, quand on nous le vend comme une héritière de Poppy, on s’attend à beaucoup, trop peut être. Enfin, je suivrais évidemment Morgane Caussarieu, car je pense qu’il y a là un bon potentiel. » Sérafina. Pour lire la critique dans son intégralité, cliquez ici.
Omerveilles, librairie de L’Imaginaire
« UN LIVRE QUI NE SE LÂCHE PAS «
« Ici, il est question de vampires, pas de minets avec des petits crocs façon chats de gouttière. Les vampires sont des monstres, des vrais et ils n’ont pas de remords, pas de questionnement existentiels.(…) Leur seul soucis est de se nourrir, de préférence d’une proie à l’odeur et au gout flattant leurs sens hyperdeveloppés. (…)Un livre agréable qui ne se lache pas et dont on se prend à regretter d’arriver à la fin tant on voudrait en savoir plus sur ces vampires si dangereux. » Pour lire la critique dans son intégralité, cliquez ici.
Mel Ange books :
« UN TRUC DE FOU »
Un truc de fou, faut le dire, c’est vraiment un truc de fou! On ne ressors pas indemne de cette lecture, ça laisse des traces! (..)ce livre est une vraie bombe, aussi bien au sens de l’appréciation de lecture qu’au fait qu’il dénonce haut et fort nos « fléaux » actuels. Morgane Caussarieu a une plume franche et directe, c’est un bonheur de pouvoir lire ces lignes, et si vous n’avez pas peur du noir et des monstres, que l’hémoglobine ne vous repousse pas, et que la chair de poule vous excite, alors foncez, n’attendez pas, ce roman est fait pour vous! http://melangebooks.canalblog.com/archives/2014/06/25/30136999.html
« DES PASSAGES REVOLTANTS »
» Les gentils vampires, ça n’existe pas. L’accroche du quatrième de couverture résume bien l’ambiance générale de ce roman, résolument anti bit-lit. L’auteur revendique des textes vampiriques plus âpres, plus fondateurs, ceux des courants des années 80. Ceux de Anne Rice ou Poppy Z Brite, des vampires séduisants certes, mais surtout arrogants, destructeurs, sans conscience. Des vampires apparus en même temps que le VIH, période à laquelle le mythe de Dracula a été balayé pour que le vampirisme joue pleinement la métaphore de la maladie sanguine. A cette époque, les stryges sont devenus des junkies et ont perdu un peu de leur superbe.(…) Il y a des passages révoltants mais qui sont justifiables par l’essence même de ce qu’est un vampire. (…)
Mais d’autres moments sont (…) très pénibles comme la répétition des actes sexuels. Franchement quand je lis un roman fantastique, je ne cherche pas une pseudo dénonciation des travers de la société. Si j’ai envie de lire un roman sur le mal être adolescent, l’alcoolisme, les méfaits de la drogue ou les déviances sexuelles je me tourne vers une autre littérature. Je vais quand même terminer sur ce que j’ai aimé : la traque du vampire. Le fait qu’il joue avec sa victime désignée comme peut le faire un chat. Le parallèle avec le texte fondateur Carmilla a été, de ce point de vue, très bien exploité. » Tiphaine – pour voir la critique dans son intégralité, cliquez ici.
« J’AI ÉTÉ PLUS D’UNE FOIS TENTÉ D’ARRÊTER MA LECTURE »
« On évolue dans un milieu très particulier, entre sexe, drogue, musique punk-rock, où se mélange tous les styles de populations underground, du skinhead aux motards en passant par les boites de rencontres gay. C’est un milieu très sombre, dérangeant, malsain parfois, qui m’a mise plus d’une fois mal à l’aise. (…) J’ai été plus d’une fois tentée d’arrêter ma lecture. Même lorsque je pensais que l’auteur ne pouvait aller plus loin dans les situations glauques, dignes d’un film d’horreur, il y en avait toujours de nouvelles (…) Paradoxalement, j’éprouvais aussi le besoin de continuer ma lecture, justement pour voir où se situaient les limites, et connaitre le dénouement de l’histoire. Peut-être une sorte de curiosité morbide? L’écriture est fluide et l’auteur fait référence à certains chanteurs ou groupes qui apportent une touche de réalité au récit. Au final, c’est un roman qui tient toutes ses promesses en matière d’horreur et qui n’est pas à mettre entre toutes les mains!« Angel – pour voir la critique dans son intégralité, cliquez ici.
« UNE GRANDE MATURITÉ POUR UN PREMIER ROMAN »
note : 8,5/10 « Pour un premier roman, l’auteure fait preuve d’une grande maturité et parvient malgré l’horreur qu’elle nous décrit, à capter l’attention de son lecteur. On a beaucoup de mal à lâcher le livre , tant on a envie de connaître la suite de ce récit. » Karline05 pour voir la critique dans son intégralité, cliquez ici.
« C’est un excellent livre qui renouvelle le genre au milieu de tout les bit-lit à l’eau de rose que l’on peut trouver en librairie. Je remercie beaucoup ma libraire préférée pour ce conseil de lecture plus que judicieux. »Kimberley (fait partie de son top5 2013) http://bibliothequedekim.blogspot.fr/2014/01/top-5-2013.html
Les lectures de Marie-Juliet
« Une ambiance cradingue, ça peut m’amuser un temps, mais pas tout un roman. Heureusement l’écriture de Morgane Caussarieu transcende le milieu glauque et interlope, où se déroule l’histoire. Les scènes décrites peuvent être trash, l’écriture n’est jamais vulgaire. Elle sait trouver les mots pour parler d’horreurs bien réelles comme l’inceste, dans sa réalité crue.Comment ne pas se prendre d’affection pour Lily, adolescente paumée, qui essaye de survivre parmi les humains, qui peuvent s’avérer aussi monstrueux que les vampires. » http://booksandme.canalblog.com/archives/2013/08/21/27753371.html
ZONE LIVRE
« UNE VERITABLE SYMPHONIE DE L’HORREUR »
Dans une ambiance malsaine, crue et cruelle, mélange addictif de chair, de sexe et de sang, la jeune romancière nous balade dans une véritable symphonie de l’horreur, et révèle devant nos yeux de lecteur, un cauchemar en temps réel. Tout au long de ces pages emplies de fureur et de noirceur, visuellement époustouflante (le final est d’une beauté sanglante et d’une horreur extraordinaire, et écrite avec une sauvagerie qui défie l’imagination) l’auteur nous convie à un déluge de violence dans ces pages noircies par la couleur noire des mots mais aussi par le rouge qui au fil du récit, remplit celles ci. Un mélange fascinant du « rouge et le noir » !http://polar.zonelivre.fr/morgane-caussarieu-dans-les-veines/
MA BOUQUINERIE
‘BLUFFANT »
cette habile réhabilitation du vampire comme destructeur physique, psychologique et émotionnel, est servi par une plume qui justifierait à elle seule la lecture du livre. Précise, riche, élégante, la langue de Morgane Caussarieu contraste furieusement avec l’univers glauque et violent dans lequel elle campe ses personnages. Elle parvient à être à la fois onirique et d’un réalisme implacable et cela fait mouche: au fil de ces phrases soigneusement travaillées, on se laisse fasciner par l’horreur et la violence pour y trouver une beauté certaine: bluffant! http://mabouquinerie.canalblog.com/archives/2015/05/23/32073477.html
OCEAN DE PAGES
Pour le coup, ce roman est vraiment la preuve que n’importe quel lieu peut être propice à raconter une histoire d’horreur et qu’il suffit d’avoir le bon point de vue sur les lieux pour révéler leurs côtés sombres. À mon avis c’est une bonne leçon pour tous ceux qui ne voient pas plus loin que l’Angleterre ou les États-Unis comme décor. (…) J’ai bien aimé son travail sur les caractéristiques physiques des vampires, qui ne se nourrissent pas seulement de sang, mais aussi de larmes, de sueur, d’urine, de sperme et de cyprine ; tous les fluides du corps humain, en fait. Ça permet de rendre les scènes entre le prédateur et la proie plus intéressantes, plus variées, car il n’est pas juste question d’ouvrir la carotide et de s’abreuver. Les effets du manque de sang, corps froid, de plus en plus sec, de plus en plus maigre, sont assez classiques mais bien utilisés, et on voit bien la différence après que les vampires se soient nourris : la peau plus souple, plus chaude, les chairs plus remplies (…) J’aurais encore beaucoup à dire sur ce livre que j’ai vraiment beaucoup aimé, sur la fin que j’ai trouvé ignoble, car elle ne laisse aucun espoir, ou sur le sort du rat de Lilly, mais je crains alors d’en dire trop. Par contre, il va falloir que je me trouve le deuxième roman de Morgane Caussarieu, Je suis ton ombre, dans lequel on retrouve certains personnages centraux de celui-ci. » http://oceandepages.eklablog.com/dans-les-veines-morgane-caussarieu-a115166442
MAGM3
« Au final, ce roman est assurément un défouloir pour son auteure. On ne passe pas un mauvais moment (loin de là) mais je le déconseille fortement aux personnes qui n’ont pas le coeur très bien accroché (ou qui ne sont pas dans le bon état d’esprit. Le lire dans les transports de bon matin s’est parfois révélé difficile pour moi). Il faut être prêt à s’ouvrir au splatterpunk avec une production moderne. Morgane Caussarieu a jeté son pavé dans la marre, rageusement, les éditions Mnémos ont suivi. Soit. Comme d’autres, je m’interroge sur le ton et le contenu de ses productions futures. Comment va-t-elle réussir à capitaliser sur son talent indéniable d’écrivaine ? » http://www.magm3.com/2014/07/03/dans-les-veines-de-morgane-caussarieu/
LINNÉ LHARSSON
« Morgane Caussarieu est une sacrée conteuse des temps modernes qui inscrit son histoire dans la tradition littéraire vampirique et je l’en remercie, émue. Et, en plus, elle écrit bien, même très bien. » http://linnelharsson.blogspot.fr/2015/04/lecture-dans-le-veines-de-morgane.html
OMBREBONES
C’est un élément que j’ai particulièrement apprécié dans ma lecture, ce côté outrageux, sale, dépravé, sans aucune limite. Une ode au macabre atrocement réaliste, jouée par des personnages affreux et attachants à la fois. Je ne sais pas qui je préfère entre J.F., Gabriel ou Fleur (avouons le, cette petite mamie dépote !) mais ils sont extraordinaires. Ils arrivent à me dégoûter tout en me fascinant, un tour de force assez impressionnant. Sérieusement, Gabriel… J’ai encore des frissons. https://ombrebones.wordpress.com/2017/07/24/dans-les-veines-morgane-caussarieu/
LA BIBLIOTHEQUE DE CELEIANE
« un livre à lire si vous aimez les scènes malsaines à profusion et si vous souhaitez vous plonger dans l’ignominie des vampires après une saturation de Twilight. De ce coté là, il remplit parfaitement son objectif en en prenant le contre-pied, en revenant aux sources. Il se lit très bien, la psychologie des personnages est travaillée et intéressante mais il ne m’a pas « pris aux tripes » car la construction de son intrigue n’était pas celle que j’attendais, une fois encore, on tombe dans le travers de focaliser sur une relation d’amour… or, ce n’est pas ce qui parvient à me toucher. » http://celeiane.unblog.fr/2013/05/08/dans-les-veines-morgane-caussarieu/
CALIDOSCOPE
« Je ne sais pas pourquoi il a eu tant de succès auprès des blogueurs, les coups de coeur furent nombreux, on m’a même dit que c’était le meilleur livre de vampires qu’ils aient jamais lu ! Ben oui, il est bien, mais personnellement, je n’en suis pas là, loin de là. J’ai lu des histoires de vampires proches du vrai vampire d’origine, beaucoup beaucoup plus intéressantes. » http://calidoscope.canalblog.com/archives/2014/12/18/31165365.html
ALLISON ONLINE
http://allison-line.blogspot.fr/2015/01/dans-les-veines.html
ONCE UPON A TIME
« J’ai tout aimé. Mais vraiment. La seule chose qui m’empêchait de boucler le roman en une nuit, c’est la fatigue. » http://onceuponatime.ek.la/dans-les-veines-morgane-caussarieu-a107415908
MON TAS DE TRUC
« J’ai moyennement aimé ce roman. Peut-être parce qu’il a suivi ma lecture de « Laisse-moi entrer » de John Ajvide Lindqvist. L’horreur de ce dernier était particulièrement poussée, mais elle avait sa place, apportait beaucoup à l’histoire. Ici, je dirais plutôt que « trop d’horreur tue l’horreur ». Et les scènes en devenaient répétitives. » http://montasdetrucs.blogspot.fr/2014/12/morgane-caussarieu-dans-les-veines.html
Babelio :
Pour : « Enfin des vampires pas pédés (enfin si mais c’est pour l’expression)! Morgane Caussarieu rend au vampire un accent de vérité (celui du sud). (…)
Morgane Caussarieu semble régler ses comptes avec l’évolution aseptisée du mythe du suceur de sang. Très documentée sur le thème, elle offre une vision personnelle, à la fois inventive, « réaliste » et très référencée sur le thème.
(…) Le vampire semble débarquer dans notre ville et faire ressortir tout ce qu’il y a de plus noir en nous, tout ce qui est caché dans l’apparence et les maisons. le vampire est ici le reflet exalté de l’homme et fait ressurgir toute ses déviances. Il semble que le mal est en nous , la mort le libère en détruisant la bienséance et la mauvaise conscience propre à toute société.
Voila ce que à mon sens Morgane Caussarieu veut nous prouver dans un roman haletant, à la limite du supportable, et écrit superbement (rappelons qu’il s’agit d’un premier roman). A lire absolument, ne serait-ce que pour l’expérience! » Moune9
Pour : « À (…) une époque où le terrain est balisé de bonnes intentions pour veiller à ce que la norme « bankable » du best-seller s’inscrive dans une longue et ennuyeuse constance (…), Morgane Caussarieu parie sur la frustration, et refuse tout net les attentes baveuses d’un public formaté pour lui servir un diner cru et visqueux, qui saura surpasser les envies de violence et de gore jusqu’à en créer le malaise.
Ce qui peut ne pas plaire dans ce roman, c’est le sentiment de culpabilité et de honte d’avoir été percé à jour dans nos travers les plus pervers à désirer lire ou s’imaginer des scènes atroces, jusqu’à espérer que l’auteure ne tire un petit trait de lumière dans un recoin de sa première œuvre ; ne serait-ce que pour nous renvoyer un infime reflet positif de nous-même.
Dans les veines est un coup majeur porté à la littérature de genre et à la conscience pervertie des lecteurs ; le livre lit définitivement plus en nous que nous en lui… et ça, ça gêne, forcément… » Mooncycle
Contre : « tout est noir, rien n’en réchappe, et le message se noie sous les vomissures de l’écrivain…Un ramassis de clichés, la preuve que l’exercice de faire un négatif de Barbara Cartland ne fait pas un bon bouquin, loin s’en faut ! » Lutinielle